C’est pourquoi, à la lumière de ce contexte difficile, Véronique Durruty et moi ne remercierons jamais assez Christophe Langris, Directeur du département Legacy chez Sony Music France en charge du catalogue de Patti Smith, et Yazid Manou, l’attaché de presse-magicien (un fou de musique en général ; et en particulier, quelqu’un d’aussi fou de Jimi Hendrix que je peux l’être de Joni Mitchell -c’est dire !), pour leur soutien, leur bienveillance et leur professionalisme.
Christophe Langris, toujours disponible, amical, accueillant et efficace pour déminer le terrain et dissiper les malentendus dont nous fûmes victimes lors du montage de l’exposition, Yazid contribuant lui aussi à aplanir les difficultés et faisant des merveilles au niveau des media –et quelles merveilles ! Sans oublier l’aide de notre amie commune Juliette Vincent, et les conseils de Pierre Levy, ami cher et avocat, qui nous conseilla bénévolement et intelligemment sur la marche à suivre face aux bourrasques aussi inattendues qu’incompréhensibles que notre exposition dut affronter dans la dernière ligne droite de son montage.
Les interventions de Christophe Langris et Yazid Manou contribuèrent donc grandement à ce que l'exposition horsesvisions put en définitive s’organiser puis ouvrir telle que nous l’avions prévue, dans le lieu qui nous avait accueilli, ce splendide Espace Niemeyer que Gérard Fournier avait mis à notre disposition pour présenter notre travail au public.
Horsesvisions ouvrit le 17 octobre, et se clôtura le 6 décembre 2016.
Véronique Durruty exposa quatre-vingt photos multi format, réparties en séries dont chacune correspondait à l’un des quatre morceaux de Horses qu’elle avait sélectionnés, soit Gloria, Redondo Beach, Break It Up et Land.
Je présentais pour ma part quinze toiles grand format dont treize inspirées par Birdland, une par Free Money et la dernière par Elegie, et enfin une série de vingt-un petit monotypes sur papier dédiés au morceau Kimberly.