Et surtout, qu'il est temps d'oublier que cette initiative constitua la seule réaction que mon envoi ait jamais suscitée, son unique et légitime destinataire ne s'étant jamais manifesté.
Et ça, c'est la seule chose qui compte et dont je me souvienne encore aujourd’hui. Parce que c'est la seule qui m'ait meurtri le cœur, ce berceau des rêves.
Berceau qui devient sépulture, lorsque les rêves, fanés par l'indifférence, se déssèchent et tombent en poussière dans l'oubli.
A bad thing. To let go.