Conclusion
Ainsi se termine mon histoire avec Elton John.
En oubliant les fleurs fanées de 2018 / 2019, je tiens à dire qu’au cours des cinquante et quelques années qui ont passé jusqu'à ce jour et à chaque fois où j’ai écouté l’un des trente et un albums studio de compositions originales de ce musicien, pianiste et interprète sans équivalent dans l’histoire de la Pop/Rock, immédiatement son sourire, son regard, sa sensibilité, son talent et sa voix uniques ont été là, évidents, présents, et totalement émouvants, comme en ce premier jour de la fin 71 où je posais sur ma platine le premier disque d’Elton John que je venais d'acheter, le vinyl de Madman Across The Water.
Aujourd’hui, je regarde en arrière et je contemple le sillage de l’Homme Fou À Travers Les Flots, les tempêtes traversées, et les eaux heureusement plus paisibles parfois naviguées. Le voyage fut magnifique, et peu importe que la barque ait pris l’eau à un moment ; j’ai pu écoper ; et elle n’a pas coulé.
Alors, comme le chante Elton John dans le magnifique Someone’s Final Song (de l’album Blue Moves, sur les paroles de l'immense Bernie Taupin, partenaire d’Elton John depuis leurs débuts, et artiste-plasticien) :
Et si je pouvais aujourd’hui refaire ma vie,
Je ne changerais rien,
Et ne laisserais personne, personne
La vivre à ma place.