Épilogue avec ADP qui rend d’autant plus précieux et rares l’intérêt et la bienveillance que la Direction générale de l’Aviation civile témoigna à ce travail, dont certains de ses représentants, eux apparemment sensibles à l’envergure patrimoniale d’Orly et à ce que ma peinture en disait, me contactèrent ; la DGAC rendit ainsi possible mon "rêve d’aéroport".
C’est dans ce contexte que j’eus le plaisir de faire la connaissance de Frédéric Huslaing, l’un des responsables de haut niveau de la Tour de controle de l’aéroport, qui me contacta début 2016 par email, proposant de me rencontrer à propos de mon travail dans la perspective du Cinquantenaire de la Tour d’Orly et des événements en préparation dont il assurait la supervision.
Que dire de Frédéric Huslaing, qui soit aussi simple et sans détours que lui-même peut l’être ? Rien, sinon que l’homme est pudique, réservé et discret, bienveillant et sympathique. Je lui dois beaucoup -sinon tout-, et il me prouva à moult reprises son engagement, et ne faillit jamais dans l’appui qu’il avait résolu de donner à Orly (Sud). Frédéric Huslaing sut dans en premier temps intéresser la Directrice de la Tour d’Orly à mon travail ; j’eus ainsi le plaisir de faire la connaissance de Françoise Fête, une femme amicale, franche et déterminée, qui appuya notre projet sans réserves.
Je dois ainsi à Frédéric Huslaing et à Françoise Fête l’exposition organisée à l’aéroport, et certainement aussi celle ayant eu lieu à la DGAC par la suite –sans oublier ni minorer, bien sûr, le rôle de ceux au sein de cette institution qui soutinrent et organisèrent l’événement -je pense ici à François Richard-Bole et à Ariane Gilotte en particulier.
Et bien entendu, les décisions de ce type n’intervenant jamais seules, il n'a échappé à personne que la bienveillance de Patrick Gandil, et celle de Maurice George (à l’époque respectivement Directeur général et Directeur des services de la Navigation aérienne de la DGAC) ne furent pas étrangères à ce soutien.